J'ai commis l'irréparable le printemps dernier. Bang! Sans fla fla. Sans raison. Sans explication. Sans lettre d'adieu. De l'au-delà, j'ai tenté de revenir, mais j'avais la tête ailleurs... En fait ce qui est bien avec la vie virtuelle, c'est justement que l'on en fait ce qu'on veut. On est là, puis une seconde plus tard, quand le monde réel prend trop de place, on implose. Pouf! Disparue. Ce qui est bien aussi avec la vie virtuelle, c'est qu'elle n'a pas une grande valeur, et à mon sens c'est ridicule de lui en attribuer une. Voilà, je me suis auto-ressuscitée, je revie. Enfin, jusqu'à ce que je me rezigouille!
PS: Je ne suis pas dépressive, j'aime juste la méthaphore.