Pour aller prendre l’autobus je dois marcher environ 7 minutes, tout dépendant de la météo. J’ai ma petite routine, je descend ma rue en marchant du côté gauche jusqu’à ce que j’ai passé la «maison des fous»…
La maison des fous, c’est un bloc appartement quelconque où résident des personnes étranges que je m’efforce d’éviter. Lorsque je suis déménagée dans mon appartement j’ignorais encore ce fait…
FLASH BACK :
Par un beau jour ensoleillé, j’avais la musique qui résonnait bien fort dans mes oreilles comme à mon habitude lorsque je m’en vais prendre la bus. J’observe les duplexes qui défilent devant mes yeux à l’infinie, je regarde les gens sur leur balcon… À la hauteur de la 18è rue, je traverse. Mon regard se pose sur une galerie où les chaises se juxtaposent en série. Des personnes plus ou moins âgées y sont assises, un en particulier me regarde. Sur un fond de musique, je vois ses lèves bouger, les mots me sont adressés. Hop les écouteurs je le regarde, il me répète : t’es belle! Puis : Regarde ma langue, t’as trouves-tu belle ma langue? (il sort sa langue qui touche presque à son menton)
Depuis ce jour je passe de l’autre côté de la rue et je traverse à l’autre intersection, mais malgré cette nouvelle habitude je dois me résigner au fait que peu importe mon trajet je ne suis jamais à l’abri de truc du genre.
PREUVE :
Une autre fois, après avoir judicieusement traversé après la maison des fous, je croise la Canardière pour allé m’acheter de la gomme au dep du coin. En sortant, un vieil homme s’adresse à moi et me demande de la monnaie… Moi et mon attendrissement face au personnes âgées… Je lui tend un 2$. Il me dit : Merci mademoiselle, avec ça je vais aller m’acheter une bière… Je vais la boire en regardant bleu nuit pi je vais penser a toi.
Note à moi même : ne plus jamais donner de cash à un vieux pervers!
La maison des fous, c’est un bloc appartement quelconque où résident des personnes étranges que je m’efforce d’éviter. Lorsque je suis déménagée dans mon appartement j’ignorais encore ce fait…
FLASH BACK :
Par un beau jour ensoleillé, j’avais la musique qui résonnait bien fort dans mes oreilles comme à mon habitude lorsque je m’en vais prendre la bus. J’observe les duplexes qui défilent devant mes yeux à l’infinie, je regarde les gens sur leur balcon… À la hauteur de la 18è rue, je traverse. Mon regard se pose sur une galerie où les chaises se juxtaposent en série. Des personnes plus ou moins âgées y sont assises, un en particulier me regarde. Sur un fond de musique, je vois ses lèves bouger, les mots me sont adressés. Hop les écouteurs je le regarde, il me répète : t’es belle! Puis : Regarde ma langue, t’as trouves-tu belle ma langue? (il sort sa langue qui touche presque à son menton)
Depuis ce jour je passe de l’autre côté de la rue et je traverse à l’autre intersection, mais malgré cette nouvelle habitude je dois me résigner au fait que peu importe mon trajet je ne suis jamais à l’abri de truc du genre.
PREUVE :
Une autre fois, après avoir judicieusement traversé après la maison des fous, je croise la Canardière pour allé m’acheter de la gomme au dep du coin. En sortant, un vieil homme s’adresse à moi et me demande de la monnaie… Moi et mon attendrissement face au personnes âgées… Je lui tend un 2$. Il me dit : Merci mademoiselle, avec ça je vais aller m’acheter une bière… Je vais la boire en regardant bleu nuit pi je vais penser a toi.
Note à moi même : ne plus jamais donner de cash à un vieux pervers!
1 commentaire:
*mort de rire*
tu sais, faut pas donner de la monnaie aux jeunes pervers aussi!
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